La Corse relookée sur MS Flight simulator No Limit Sky

Microsoft Flight Simulator est une légende en matière de jeux vidéo de simulation de vol. Sa première version, Flight Simulator 1.0 a été créé en 1982 mais, depuis, les versions n’ont cessé de s’enchaîner avec toujours le même succès auprès des joueurs. La dernière en date, sortie en 2020, a subi des améliorations qui ne risquent pas de laisser indifférent le public française le public corse, corse en particulier.

Dans l’une des nouvelles scènes du jeu vidéo, l’on peut facilement distinguer l’un des 4 aéroports corses à savoir Bastia Poretta, dont l’environnement est reproduit au détail près. Le décor réaliste de l’aéroport donne un joli avant-goût du paysage atypique de la célèbre île de beauté et ceux qui connaisse déjà cet aéroport corse auront plaisir à s’essayer aux décollages et atterrissages, avec tout un tas d’aéronefs. La simulation offre une expérience totalement immersive dans le centre-ville de Bastia. Ils auront aussi le plaisir de voler au dessus d’une Corse, elle aussi, de mieux en mieux modélisée.

Une belle reconnaissance de l’aéroport de Bastia Poretta

Le choix de l’aéroport de Bastia Poretta est tout sauf anodin. En nombre de personnes transportées, celui-ci est en effet le deuxième plus grand aéroport de Corse, derrière l’aéroport d’Ajaccio Napoléon Bonaparte. En 2013, l’aéroport Bastia Poretta est classé 15^e aéroport français. Depuis 2008, il est habitué à dépasser le cap du million de passagers transportés annuellement.

Fan de Corse, n’en doutes pas. Microsoft Flight Simulator est donc excellent pour tester vos capacités de pilote d’élite dans l’une des plus belles îles de la mer Méditerranée. Par ailleurs pour une expérience plus rapprochée de la réalité, les joueurs peuvent opter pour des marquages au sol précis et des textures de tarmac personnalisées avec des effets PBR. Retrouvez chez simMarket tout ce dont vous avez besoin tirer le meilleur parti des scènes MSFS.

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Caractéristiques d’AirTycoon 5

AirTycoon 5 est un jeu de simulation de gestion de compagnie aérienne version solo avec des graphiques 3D du plus bel effet. Disponible sur Google Play, le jeu s’illustre par son réalisme et son fond de jeu basé sur le temps de jeu historique. Avec l’ensemble des améliorations apportées à cette nouvelle version du jeu de simulation, les joueurs sont assurés de vivre une expérience immersive très rapprochée de la réalité.

Côté flotte aérienne, retrouvez dans AirTycoon 5, 170 modèles d’avion réels publiés, au fil du temps, mais aussi un historique détaillé de votre gestion. Avec cette application ludique, vous avez la capacité de gérer une compagnie aérienne présente dans 500 aéroports du monde et vous pouvez même prendre le contrôle d’autres entreprises. Egalement, pour obtenir le rendu le plus réaliste possible, les développeurs ont intégré la survenance d’accidents du fait de l’augmentation de la température ou encore de certaines pannes de moteur.

Un Hub pour les gouverner tous

S’il y a une différence constatée par de nombreux utilisateurs par rapport aux versions précédentes, elle réside essentiellement sur l’introduction du concept de Hub. Désormais, le quartier général de votre compagnie aérienne se base dans la ville choisie au début du jeu. Les départs sont aussi organisés de telle sorte que les avions décollent à partir de la ville où se trouve le siège social ou la succursale de la compagnie.

AirTycoon 5 consacre également l’apport de moyens permettant d’améliorer le Branding de votre compagnie. Désormais, il est, par exemple, possible d’augmenter la valeur du nom de la compagnie en investissant dans la publicité par ville. Une fois que cette valeur excède 50, la possibilité vous est alors offerte d’établir des branches de votre société.

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Le Casinos Jet Lounge, un concept inédit

Les sociétés françaises Designescence et AirJet Designs sont à l’initiative du Casino Jet Lounge, par l’intermédiaire de leurs ingénieurs respectifs, Jean-Pierre Alfano et Frédérique Houssard. Conçu spécialement pour être installé dans un avion de ligne, le Casino Jet Lounge reprend l’idée d’un bar de luxe offrant des activités ludiques. Il est donc question de reproduire l’ambiance et l’environnement d’un établissement de jeux de casinos à quelques exceptions près. C’est en tout cas l’explication que Frédérique Houssard a donné au micro de CNN : « Nous essayons de ramener une partie du glamour des années 50 et 60, celui que vous retrouvez dans les films James Bond ». Un casino un peu à l’ancienne, donc, même si le design et cette coloration 50’s ne semblent pas être ce qui freine, encore et pour l’instant, l’enthousiasme de certaines compagnies.

Si le projet, qui est encore à ses premiers pas, laisse perplexe un bon nombre d’acteurs de l’aéronautique, c’est en grande partie à cause de quelques expériences du même type restés sans succès dans le passé. Parmi les échecs notoires du « casino volant », l’on retrouve bien évidemment celui de Singapour Airlines. La compagnie avait essayé en 1981 de placer des machines à sous dans un vol au départ de Singapour à destination de San Francisco. Finalement, d’énormes difficultés logistiques ont été relevées conduisant ainsi à l’abandon du projet deux mois plus tard.

D’autres essais pour jouer en l’air

Swissair avait aussi tenté une approche similaire dans les années 90 en incorporant un « réseau de divertissement de bord » à plusieurs de ses appareils à la manière des sites de casino listés sur casinosenligne.net. Le crash du vol 111 en 1998 a été associé à une défaillance de ce même réseau et contraint la compagnie à renoncer au concept. Il y a là de quoi refroidir les joueurs les plus enthousiaste.

La dernière tentative d’adoption du « casino volant » est à mettre à l’actif des compagnies Virgin Atlantic Airlines et Ryanair. Celles-ci se sont très vite heurtées à des difficultés techniques mettant en cause la réalisation du projet. Elles n’y ont pas totalement renoncé, en tout cas, pas Ryanair, qui croît toujours à son aboutissement (c’est en tout cas ce qu’a indiqué le responsable de la communication de Ryanair, Stephen McNamara).

Des écueils et obstacles encore à lever

Si les ingénieurs Jean-Pierre Alfano et Frédérique Houssard tiennent à faire triompher leur Casino Jet Lounge, ils devront également affronter quelques obstacles de taille sur leur chemin. Le premier concerne la législation. Cette dernière fait interdiction notamment de l’exploitation des jeux d’argent dans l’espace aérien américain. Combien de pays pourraient voir d’un mauvais œil la même chose ?

Le second obstacle auquel se heurte le projet est d’ordre économique. L’incorporation d’activités de casinos dans les vols ne doit pas affecter la rentabilité de ces compagnies, que ce soit à court ou à long terme. En effet, l’aménagement d’un espace de jeu suppose potentiellement une réduction du nombre de sièges. Un bar lounge, même sans casino, sur un long courrier ou un avion de ligne, ce n’est pas standard et c’est loin d’être une mince affaire. On sait combien le modèle économique de l’aviation de tourisme moderne tient sur l’entassement des passagers dans des espaces exigus, sauf à leur faire payer des sommes exorbitantes. Le modèle économique est donc clairement en jeu à l’heure où les casinos se virtualisent de plus en plus et se jouent sur internet et sur écran.

Pour terminer sur ce projet original qui n’a pas encore convaincu, le Casino Jet Lounge ne cible pas au départ les poker men. Les premiers tests se feront donc avec une seule table de blackjack. La ludothèque s’adaptera au public au fur et à mesure de l’évolution du projet.

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Un simulateur d’avion sorti du garage de Bruce Artwik

L’épopée de MS Flight Simulator commence en 1916 avec la publication d’un corpus d’articles par Bruce Artwik. Ses écrits étaient consacrés à un programme de graphisme 3D pour ordinateurs. L’intérêt suscité par les articles de Bruce Artwik pousse ce dernier à lancer en 1977 sa société nommée SubLogic. À partir de son business de vente de simulateurs de vol pour ordinateur, la société développa en 1979 FS1 Flight Simulator pour l’Apple II.

Trois ans plus tard, c’est au tour de Microsoft d’entrer dans la danse et d’acheter chez SubLogic une licence de développement pour IBM PC qui sortira finalement sous le nom de Microsoft Flight Simulator 1.00. La société continue alors de commercialiser une version améliorée du produit, mais à destination d’autres plateformes : Flight Simulator II pour Apple II (1983), Commodore 64, MSX et Atari (1984), Commodore Amiga et Atari ST (1986). Le départ de Bruce Artwik de SubLogic en 1988 pour la BAO (Bruce Artwik Organisation) marque le début de créations exclusives pour Microsoft.

Une grande idée dans les mains d’un géant

Sous cette société, Flight Simulator va atteindre sa maturité commerciale et commencer par séduire de plus en plus de joueurs. En 1995, Microsoft décide de racheter la BAO et avoir la main mise sur ce qui constitue désormais un produit pionnier. Le nombre de nouvelles versions du simulateur croît rapidement avec à la clé des caractéristiques très intéressantes (météo, davantage de décors et d’avions, etc.). Les éditions « Standard » et « Professionnelle » font leur retour dans la version Flight Simulator X. Avec MS Flight Simulator 2004, Flight Simulator X fait partie de la gamme de produits destinés à des pilotes ou pilotes en herbe. Si l’environnement virtuel est totalement immersif, il intègre plein de détails qui complexifient le jeu. Les joueurs peuvent parcourir le monde entier et tester leurs compétences sur le tarmac de plus de 20 000 aéroports.

Devenez un as du pilotage d’avion !

Par la suite, MS pousse le concept toujours plus haut et chouchoute sa licence. Les versions de 2012 et de 2020 sont conçues à partir d’un système entièrement sophistiqué de simulation météo. Elles renferment un grand nombre de ressources (leçons interactives, missions, checklist d’appareils, etc.), de villes et d’appareils pilotables. Les cartes et leur niveau de détail ne cessent de s’améliorer pour coller au plus près de la réalité. MS Flight Simulator a forgé sa réputation sur sa flexibilité rendue possible grâce à une grande disponibilité de mises à jour et de compléments. Son concept, toujours plus de sensation, de réalisme et de challenge. On peut commencer tranquillement et monter en difficulté avec les options.

Une chose qu’il faut savoir sur ce simulateur de pilotage d’avions de légende est qu’il est aussi utilisé par des pilotes réels. Cela est une caution plutôt positive quand on connait le niveau d’exigence que requière la manipulation de certains appareils.

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Aviator, le jeu de hasard aux multiples atouts

Aviator dispose de caractéristiques qui font de lui un jeu de casino unique. Son gameplay assez novateur inspiré du thème de l’aviation met un véritable écart entre lui et les autres machines à sous standards. En outre, son développeur, la société Spribe, a beaucoup insisté sur la dimension sociale de son jeu, en y intégrant un tchat qui permet aux joueurs d’interagir entre eux. Le choix était bon puisque la visualisation des mises et des gains des autres joueurs est un autre concept social très apprécié par les fans de ce jeu d’avion pas comme les autres.

L’aspect social n’est pas le seul domaine où Aviator se détache clairement des machines à sous classiques. De manière assez originale, le gameplay est corrélé intelligemment au résultat de vos paris. Retrouvez à la place des symboles et lignes de paiements habituels la simulation d’un vol d’avion. Vous devez tout faire pour collecter vos gains au bon moment. De plus, Aviator applique un multiplicateur aléatoire pouvant aller de 1 à 1 million.

Aviator est la preuve qu’on peut faire simple et original pour un jeu de casino. Le principe de ce jeu au RTP de 97 % est facile à comprendre. Le but est d’être suffisamment rapide et de placer votre pari dans le temps qui vous est imparti, soit 10 secondes. Au début de chaque tour, l’avion apprête le décollage pendant quelques secondes au cours desquelles son coefficient grimpe progressivement jusqu’à l’envolée complète. Les gains doivent être encaissés avant que l’avion ne prenne réellement son envol, autrement le pari est perdu.

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